Table I.
Medical Treatment | Physical Modalities |
Topical corticosteroids | Phototherapy (PUVA) |
Tacrolimus 0.1% ointment | |
Pimecrolimus 1% cream | |
Topical tretinoin |
PUVA, psoralens plus ultraviolet A.,
approche thérapeutique optimale pour cette maladie
Les corticostéroïdes topiques sont généralement considérés comme un traitement de première intention pour L’AP. Étant donné que l’emplacement le plus commun est sur le visage des enfants, seuls les stéroïdes à faible puissance, tels que l’hydrocortisone 2,5% (crème, pommade ou lotion deux fois par jour) ou le désonide (crème, pommade ou lotion à 0,05% deux fois par jour), doivent être utilisés dans ces cas. Pour les patients présentant une atteinte troncale, des stéroïdes de puissance plus élevée peuvent être envisagés.
immunomodulateurs tels que le tacrolimus (0,03% chez les enfants de moins de 15 ans ou 0.,1% chez les personnes âgées de plus de 15 ans, deux fois par jour) ou ou pimecrolimus 1% crème ont été signalés pour être efficace, tout comme la trétinoïne topique, bien que cela puisse être trop irritant dans certains cas.
la photothérapie avec psoralènes plus ultravolet a (PUVA) peut être bénéfique dans les cas étendus.
prise en charge du Patient
le Pityriasis alba a généralement une évolution chronique et récurrente, avec des mois à des années avant une résolution spontanée. La réponse au traitement est variable, et il peut prendre des semaines à des mois pour une amélioration notable avec l’une des modalités de traitement., Le patient doit prendre un rendez-vous de suivi dans 2-3 mois pour évaluer l’efficacité du traitement. Si aucune amélioration n’est constatée, il faut envisager de modifier les traitements. Le traitement d’entretien consiste principalement en émollients et en crème solaire.
scénarios cliniques inhabituels à considérer dans la prise en charge des patients
pour les présentations atypiques, d’autres entités pouvant provoquer une hypopigmentation doivent être envisagées (voir diagnostic différentiel ci-dessus), en mettant particulièrement l’accent sur l’exclusion de la sarcoïdose ou du lymphome cutané à lymphocytes T (mycosis fungoides).
qu’est-Ce que les éléments de Preuve?,
DiLernia, V, Ricci, C. « pityriasis extensif atopique et idiopathique alba”. Pediatr Dematol. vol. 24. 2007. p. 578 à 9. (Une description des présentations de L’EPA chez les patients avec et sans prédisposition atopique.)
Fujita, W, McCormick, C, Parneix-Spake, A. « Une étude exploratoire pour évaluer l’efficacité de la crème pimecrolimus 1% pour le traitement du pityriasis alba”. Int J Dermatol. vol. 46. 2007. pp. 700-5. (Une étude randomisée confirmant le bénéfice thérapeutique du pimécrolimus pour L’AP.)
Sarifakioglu, E. « Vaste pityriasis alba dans un nonatopic enfant”. Pediatr Dermatol. vol. 24., 2007. pp. 199-200. (Rapport de cas D’EPA chez un enfant sans antécédents ou résultats d’atopie.)
DiLernia, V, Ricci, C. « Hypomélanose Progressive et étendue et pityriasis Alba étendu: même maladie, noms différents”. J Eur Acad Dermatol Vénéréol. vol. 19. 2005. pp. 370-2. (Discussion des similitudes et des différences entre L’EPA et l’hypomélanose maculaire progressive.)