1977: la France met en scène sa dernière exécution à la guillotine.
un immigré Tunisien vivant à Marseille, Hamida Djandoubi, a été exécuté pour avoir torturé sa petite amie. Il l’avait tuée pour se venger, après avoir déclaré aux autorités qu’il avait essayé de la forcer à se prostituer.
La guillotine, malgré ses associations avec la Révolution française, n’était pas originaire de France. Des variantes ont été utilisées dans d’autres pays européens bien avant que Marie-Antoinette et le citoyen Robespierre ne perdent la tête., Une machine a été utilisée dès 1307 pour rendre la justice en Irlande. La méthode préférée de la France pour éliminer les délinquants avant la révolution était la rupture sur la roue, une pratique médiévale macabre destinée à infliger autant de douleur que possible avant la libération finale.
La guillotine a été adopté par Louis XVI en tant qu’être humain forme d’exécution. Louis lui-même allait bientôt découvrir à quel point c’était humain. Comme l’a été le malheureux M. Djandoubi près de deux siècles plus tard.,
son appel rejeté, Djandoubi monte sur l’échafaud à 4h40 du matin le 10. Marcel Chevalier, le bourreau en chef de la France, a laissé tomber la lame. La méthode, déjà vivement critiquée par les opposants à la peine capitale, s’est encore enflammée après L’exécution de Djandoubi, lorsqu’un médecin présent a témoigné que Djandoubi était resté réactif jusqu’à 30 secondes après la décapitation.
ce n’était pas la première fois que le condamné semblait rester conscient pendant une période de temps inconfortablement longue avant que la vie ne finisse par suinter., Henri Languille, guillotiné en 1905, aurait regardé un témoin qui aurait crié son nom after après avoir été décapité.
Le Fils de Chevalier, Eric, était également présent à l’exécution. Il était là pour observer et se préparer à succéder à son père en tant que bourreau en chef de la nation. Pour ainsi dire, Eric a dû trouver une autre ligne de travail lorsque la France a officiellement aboli la peine de mort en 1981.